Autant se foutre des cornflakes dans le cul

Ce film est à oublier très vite. L'acteur est inconnu, le méchant c'est Travolta. Y a même pas de grosses bagarres bourrines.

Un seul point fort : toute la famille du héros, Franck Castle, est massacrée, grands parents, femme et enfant compris. Par contre, classique, il décide de se venger, et il va tuer tout le monde, tout seul...

Adapter de comics, ce super-héros n'est as content. Il est juste super vénère. En BD, le scénario doit tenir la route (je ne l'ai pas lue). mais en film, ça fait trop M6. La fin essaye de nous expliquer que ce film n'est qu'une introduction : "There's no more Franck Castle. Now call me "The Punisher"". Ridicule.

Ce film de Stanley Kubrick est à mon sens non seulement culte, mais également d'utilité publique. C'est à merveille que ce film dénonce la violence qu'émet la société. Le personnage principal, Alex, est ultra-violent. Il se fait arêter, et se fait "guérir" par de nouvelles méthodes médicales. Cela le rendra totalement innofensif. A sa sortie, il sera utilisé comme instrument politique des 2 camps en place pour dénoncer l'inhumanité du camp opposé. Un message ressort par dessus tout : même si Alex est une personne d'une violence inouïe, on voit bien que c'est la société et son système qui sont les plus violents. A noter : le seul grand rôle de Malcolm McDowell, qui joue le rôle d'Alex comme personne n'aurait su le faire.

La scène que je préfère est le meurtre pour lequel Alex se fait condamner. Il tue une femme à l'aide d'une oeuvre d'art représentant un cul et une bite. La femme se fait écraser le visage à l'aide du gland. L'instrument de la violence est le sexe. Inutile de vous dire que c'est pas avec mon gland à moi qu'elle serait morte. Y a à peine de quoi l'étouffer. puis moi, vieille ou pas, je l'aurais d'abord violer. Et c'est avec mon cul que je lui aurais écraser la face.

Bien à vous.

Je suis actuelement en train de lire "Un goût de cendres" d'Elisabeth Georges. Il s'agit d'un polar relatant l'enquête sur la mort de Kenneth Flemming, un très grand joueur de cricket en Angleterre. Comme si Zizou se faisait buter en France, ou alors José Boulaf, le célèbre champion de lancer de courgette, au Luxembourg.

Le cricket : en voilà un sport méconnu de nous autres les franchouillards. Attention, jeveux bien dire que c'est con comme jeu, mais ça l'est moins que la pétanque, alors fermons nos gueules. J'ai fait quelques recherches, et sachez que le Zidane de ce sport est un anglais du nom d'Andrew Flintoff.

Pour revenir au bouquin, je ne résisterai pas au plaisir de vous balancer le nom de l'assassin quand je l'aurai fini. En attendant voici les suspects :
- Myriam Whitelaw, une vieille qui aurait bien aimé sucer Kenneth.
- Olivia Whitelaw, la fille de la vieille, désormais aussi mobile qu'un enfant du Téléthon.
- Chris Faraday, qui vit avec Olivia, mais qui ne veut pas la sauter. Il sauve les animaux des méchants laboratoires.
- Gabriella Patten, que Flemming sautait régulièrement.
- Hugh Patten, mari cocufié régulièrement par Gabriella.
- Guy Mollison, qui, avant, sautait régulièrement Gabriella.
- Jean Cooper, cocufiée par Flemming.
- Jimmy, le fils de Flemming. Et puceau.

Quand vous saurez qui est le meurtrier, vous serez dégoutés. Ah ah.

Alors, ok, le livre est mieux. C'est normal, qu'on me cite une seule fois où un film fut mieux que son oeuvre originale. Vous aurez beau chercher, vous aurez l'air d'un con. Une fois pour toutes, une adaptation cinématographique d'un livre n'a pas pour vocation d'être meilleure. Il s'agit du point de vue personnel d'un réalisateur. Et là, le point de vue imaginé par Ron Howard est plutôt réussi. C'est d'autant plus étonnant qu'avec lui, on attendait quelquechose de bien depuis près de 20 ans pour Willow.

Le casting est plutôt plausible, avec Tom Hanks en Robert Langdon, Audrey Tautou en Sophie Neveu et Jean Reno en Bézu Fache. Les langues sont respectées, à savoir quand 2 français parlent, ils le font en français. Bel effort des Américains. A noter la présence de 2 acteurs qui me tiennent à coeur : Etienne Chicot, incarnant l'Inspecteur Collet, qui aide Fache ; et Denis Podalydès, en employé de Tour de Contrôle d'un aéroport.

Le livre, et donc le film, explique que le Christianisme repose sur un mensonge, ce qu'on découvre grâce à des codes et des énigmes résolus par les deux protagonistes. C'est pourquoi on a vu une ribambelle d'abrutis prier à Cannes pour que le film soit un bide, ou des masses de crédules manifester contre Dan Brown, l'auteur du livre... Mais putain, c'est une histoire, bordel! Et puis, si il a envie de croire ça, c'est son droit à Dan Brown, merde!

Et puis moi, je crois plus volontiers à la théorie Da Vinci Code qu'à la Bible (qui, entre nous, s'est encore mieux vendue)! La Vierge Marie, mon cul! Elle s'est fait sauter dans le dos de ce cocu de Joseph, c'est tout! Et genre Jésus Christ, il a jamais niquer! Faut pas rêver, la célébrité, ça sert à ça: à baiser partout, et si possible à plus de 2! M'étonnerait pas qu'en plus d'avoir fourrer Marie-Madeleine, il se soit pris une bite dans le cul!

Allez, je vous laisse avec ces images mentales. Bye!

Salut les nazes! Ici j'essaierai de faire tilter sur l'actualité, le cinéma, la zique, et autres conneries qui remplissent nos quotidiens monotones et gris.

Alors si tu veux kiffer, ferme ta gueule et bois mes paroles. T'en apprendra plus avec moi qu'avec Benoît 16.